
La pluie de juin providentielle a-t-elle marqué le début du bain de sang ou a-t-elle douché les tueurs? L’ondée fut-elle un signe prémonitoire de la vengenace des hommes, comme dans une tragédie grecque, ou bien a-t-elle manifesté “la colère” (al-ghadab) du Dieu, des chrétiens (qui se dit Allah aussi!) voulant séparer les combattants? Journalistes de l’époque et personnages d’aujourd’hui se perdent en conjectures…